Bonjour Sophie,
Différents types de dates ont différents index glycémiques, bien que cela ne varie pas énormément, on a des fourchettes entre 46 et 55.
https://nutritionj.biomedcentral.com/articles/10.1186/1475-2891-10-59
Note que les chiffres fournis dans cette étude sont pour des dates mûres (car certaines études ont été faites sur des dates partiellement mûres). Je ne pense pas qu’elles aient été enrobées de sucre.
Le plus surprenant est le fait suivant : la consommation de dates ne semble pas avoir d’impact sur la glycémie post-prandiale :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3112406/
C’est certes une vue partielle. Tout dépend aussi du pic d’insuline que le corps a dû fournir afin de maintenir cette glycémie stable. Mais tout de même, le fait que cela reste stable, on ne s’y attend pas vu la quantité de sucres fournie.
Vu que je n’ai pas encore testé en pratique, je reste surpris et toujours un peu partagé. Mais j’ai confiance en la science (lorsque bien faite) et la tradition (qui confirme ce point), et les deux semblent pointer vers cet effet. Affaire à suivre… 🙂