Signes de fertilité

10 sujets de 1 à 10 (sur un total de 10)
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  • #19693
    Sarah M.
    Participant

      Bonjour,

      Je souhaiterai revenir sur la façon dont on identifie la période d’ovulation… et toute la partie du cours qui parle des causes.

      A un moment donné tu parles des tests d’ovulation qui détecte les pic de LH et dans le cas du sopk montrerait les trompes affectées ? Quel est le rapport entre une trompe affectée et un pic de LH? Dans le cas du sopk, les ovulations sont souvent très tardives mais y a pas forcément un problème de trompes ? 

      Pour l’observation de la glaire il est préférable de le faire à la vulve et non dans le vagin, contrairement à ce qui a été dit, car on retrouve toujours plus ou moins une sécrétion à l’intérieur et en plus ou courcircuite le travail des poches de shaw (cellules présentes dans le vagin et qui déshydratent la glaire quand on sécrète la progestérone).

      Je ne pense pas que ça soit une bonne idée d’éviter les rapports avec éjaculation pour juste mieux voir la glaire. Quand on apprend la symptothermie ou la méthode Billings ou Creighton on apprend à faire la différence entre glaire et sperme. Mais pour le couple qui cherche à concevoir, leur demander de ne plus essayer juste pour s’observer, je ne pense pas que ça les rassure.

      La légère baisse de température avant l’ovulation (qui s’appelle le point nadir) est très loin d’être systématique et n’est pas synonyme du jour d’ovulation. En fait l’ovulation peut très bien arriver 2 jours avant comme 2 jours après. Il existe encore plus de 10% de chance de concevoir lors de la première montée ! (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12178154/) Ce n’est pas suffisant de se basser juste là dessus, surtout qu’un rapport pil à ce moment ne sera probablement pas suffisant en concentration des spz dans le sperme. Par contre des rapports tous les 2, 3 jours tant qu’il y a de la glaire et jusqu’à la première montée de température c’est efficace (voir les études de sensiplan (Gnoth and al, Human reproduction,  sur le sujet : après 9 cycles, 90% des couples arrivent à concevoir).

      Les thermomètres basales ne se trouvent pas en pharmacie (ou alors c’est très rare). 

      Une prise de température sous les aisselles ne permet pas d’identifier une courbe biphasique, beaucoup trop imprécis ! (marche pas non plus au front et dans l’oreille) En revanche c’est possible en buccal, rectal ou vaginal (et si la prise est faite de façon correcte, elles sont toutes suffisemment précises). 

      Pour l’hypothyroïdie, 36,2 n’est pas un critère, dépend de quel lieux de prise, pendant combien de temps, quel thermomètre…Mais des températures plutôt basses comparées à d’autres personnes avec au moins une durée de prise et un lieu de prise équivalent, on peut se poser la question (surtout si cycle long, règles abondantes et autres signes d’hypothyroïdie). 

      Ensuite, un peu plus tard dans les vidéos : si l’ovocyte est fécondé 2 jours après l’ovulation… la durée de vie d’un ovocyte est de 24h et il n’est fécondable que les 18 premières heures, donc  2 jours après l’ovulation, c’est déjà trop tard, l’ovocyte est « mort ». 

      Et enfin, les spermatozoïdes peuvent survivre jusqu’à 5 jours dans la glaire et non juste 72h même si pour de nombreux couples ça serait plutôt 3, 4 jours. 

      Voilà pour les remarques (que je souhaite être constructives) que j’avais à faire sur la fertilité.

      Merci pour ton retour

      Sarah

      #19699
      Christophe BERNARD
      Maître des clés

        Merci pour tes commentaires Sarah. J’ai quelques jours un peu chargés, mais je n’oublie pas, je te fais un retour dès que j’ai un moment pour me repencher sur tout ceci.

        #19732
        Christophe BERNARD
        Maître des clés

          Bonjour Sarah,

          Toute clarification ou correction est constructive, ne t’inquiète pas. De plus, lorsqu’on a la chance d’avoir une spécialiste avec nous, je veux en profiter au maximum.

          A la base, je suis un généraliste. J’ai toujours travaillé comme ça, j’accompagne toute problématique de santé, certaines que je ne connais pas. Du coup je défriche, parfois je me casse un peu les dents, mais ça me permet de progresser. J’explore un sujet jusqu’à un certain point pour faire mon travail, ensuite, il faut que je passe à un autre sujet.

          Lorsqu’une ou un spécialiste vient m’apporter des informations, je veux toujours être en mesure de dire merci. Bien sûr, parfois, il y a le risque de le prendre personnellement, et que l’ego en prenne un coup. Et clairement, je ne te cacherai pas qu’au fil des années, il a fallu que j’apprenne à gérer ces situations. Je pense que c’est humain. On essaie de bien faire, on pense qu’on ne peut pas faire mieux, et puis quelqu’un arrive et a défriché le sujet largement plus que toi, et là, tu te dis « suis-je légitime dans ce sujet ? ». Je pense que nous avons tous connu cela, cela donne de l’humilité, nous remet à notre place, et c’est toujours bien. Se faire sortir de sa zone de confort est primordial. Sinon on se repose sur ses acquis.

          Mais bon, là je philosophe 🙂  Mais juste pour te mettre à l’aise avec le fait que tu peux me faire ce genre de commentaires, et qu’à ce stade de ma pratique, j’ai bâti assez de confiance en mes compétences pour ne pas le prendre mal, accepter que je continuerai d’être un généraliste qui apprendra des spécialistes.

          Allez, je ferme cette parenthèse et je reviens à tes commentaires !

          Pour le premier point, j’ai réécouté la vidéo, relu la transcription, et en toute franchise, je ne sais plus ce que j’ai voulu dire exactement. Donc je vais tout simplement couper ce point de la vidéo et des transcriptions.

          Pour les durées de « survie » des spermatozoïdes et oeuf, je vois qu’il n’y a pas concensus, et que mes ouvrages de physiologie généralistes n’ont peut-être pas l’information la plus précise. Pour les spermatozoïdes par exemple, j’avais pu tracer les fameux 5 jours a une étude relativement vieille, et mes discussions avec les spécialistes m’avaient pointé vers quelque chose de plus court en pratique.

          Pour la thyroïde, la discussion est effectivement largement plus complexe que la température basale. Pour avoir travaillé avec de nombreux cas d’hypothyroïdie, je peux le confirmer. En revanche, la température basale peut tout de même donner un indice, même si, effectivement, se fixer sur un chiffre n’est jamais judicieux. Il en est de même pour la TSH et même les niveaux de T3 et T4 qui chez certaines femmes sont « normal » ou « normal bas » alors que la clinique pointe bien vers une symptomatique d’hypothyroïdie. Mais bon, je voulais glisser l’information au passage.

          Dans l’ensemble, tes commentaires sont les bievenus, et je vais faire des mises à jour sur la plateforme, dans le module en question. Un grand merci pour ce partage.

          #19779
          Sarah M.
          Participant

            Merci pour ton retour et d’avoir pris le temps de me lire !

            #19938
            Marie V.
            Participant

              Je me permets juste d’ajouter à cette discussion qu’il me semble qu’on trouve des thermomètres à deux décimales (le cyclotest lady en tout cas) dans la plupart des pharmacies en Suisse. En tout cas au Sun store, BENU et Amavita en ont (et on peut les commander sur leurs sites aussi si jamais).

              #19945
              Katia
              Participant

                Coucou et merci à tous !

                Sarah (M), tu parles du cycle en cas d’hypo : « surtout si cycle long, règles abondantes et autres signes d’hypothyroïdie ». Si je comprends bien le cycle long et règles abondantes sont symptomatiques des hypo ?

                J’ai un cas d’hypo avec des règles « qui ne coulent pas » + SPM ++ douleurs (pas de problématiques gynécologiques constatées)

                Cela vous parle ?

                Grazie mille

                #19978
                Sarah M.
                Participant

                  Oui en Suisse, la symptothermie est plus développée, dans les plannings ils en parlent alors qu’en France on a un immense retard sur le sujet. On peut aussi en commander en France depuis les sites, notamment bivea.fr

                  #19979
                  Sarah M.
                  Participant

                    Oui c’est typique d’une hypo thyroïdie. Le SPM avec une hypo oui rien d’étonnant, il y a une hyperoestrogénie avec de l’hypothyroïdie donc souvent de la rétention d’eau, douleur aux seins (très très fréquent en hypothyroïdie car aussi associé au manque d’iode), irritabilité etc. Si les règles sont abondantes, c’est aussi assez logique qu’il y ait des douleurs (mais je ne sais pas si c’est ça que vous voulez dire par douleurs? Douleurs de quoi ?). Par contre des « règles qui ne coulent pas », je ne comprends pas bien ce que ça veut dire…? Est-ce que ça veut dire que ça dure des jours et des jours? Que la « vidange » de l’utérus s’éternise? Ou est-ce que ça veut dire que les règles ne viennent pas ? Je comprends pas bien. Habituellement les cycles sont longs, donc les règles mettent du temps à arriver, elles sont abondantes et donc souvent longues (parfois plus de 8 jours) et il peut aussi y avoir des spottings (qu’elle prends peut-être pour des règles qui ne coulent pas parce que légers saignements ?)

                    #19986
                    Katia
                    Participant

                      Alors douleurs règles premier et deuxième jour ++

                      Règles qui coulent au compte goutte… rien dans la serviette….pendant 5 jours… à l’opposé des règles hémorragiques.

                      Merci !

                      #19991
                      Sarah M.
                      Participant

                        alors pour moi ça me fait plus penser à des saignements intermenstruels que de vraies règles, à moins qu’elle ait un déficits en oestrogènes parce qu’elle n’a pas assez de calorie/fait trop de sport etc et dans ce cas là, ça peut perturber la thyroïde aussi, c’est possible. Et du coup ça ferait de tout petits saignements…

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                      • #19693

                        Sarah M.
                        Participant
                        • Offline

                          Bonjour,

                          Je souhaiterai revenir sur la façon dont on identifie la période d’ovulation… et toute la partie du cours qui parle des causes.

                          A un moment donné tu parles des tests d’ovulation qui détecte les pic de LH et dans le cas du sopk montrerait les trompes affectées ? Quel est le rapport entre une trompe affectée et un pic de LH? Dans le cas du sopk, les ovulations sont souvent très tardives mais y a pas forcément un problème de trompes ? 

                          Pour l’observation de la glaire il est préférable de le faire à la vulve et non dans le vagin, contrairement à ce qui a été dit, car on retrouve toujours plus ou moins une sécrétion à l’intérieur et en plus ou courcircuite le travail des poches de shaw (cellules présentes dans le vagin et qui déshydratent la glaire quand on sécrète la progestérone).

                          Je ne pense pas que ça soit une bonne idée d’éviter les rapports avec éjaculation pour juste mieux voir la glaire. Quand on apprend la symptothermie ou la méthode Billings ou Creighton on apprend à faire la différence entre glaire et sperme. Mais pour le couple qui cherche à concevoir, leur demander de ne plus essayer juste pour s’observer, je ne pense pas que ça les rassure.

                          La légère baisse de température avant l’ovulation (qui s’appelle le point nadir) est très loin d’être systématique et n’est pas synonyme du jour d’ovulation. En fait l’ovulation peut très bien arriver 2 jours avant comme 2 jours après. Il existe encore plus de 10% de chance de concevoir lors de la première montée ! (https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12178154/) Ce n’est pas suffisant de se basser juste là dessus, surtout qu’un rapport pil à ce moment ne sera probablement pas suffisant en concentration des spz dans le sperme. Par contre des rapports tous les 2, 3 jours tant qu’il y a de la glaire et jusqu’à la première montée de température c’est efficace (voir les études de sensiplan (Gnoth and al, Human reproduction,  sur le sujet : après 9 cycles, 90% des couples arrivent à concevoir).

                          Les thermomètres basales ne se trouvent pas en pharmacie (ou alors c’est très rare). 

                          Une prise de température sous les aisselles ne permet pas d’identifier une courbe biphasique, beaucoup trop imprécis ! (marche pas non plus au front et dans l’oreille) En revanche c’est possible en buccal, rectal ou vaginal (et si la prise est faite de façon correcte, elles sont toutes suffisemment précises). 

                          Pour l’hypothyroïdie, 36,2 n’est pas un critère, dépend de quel lieux de prise, pendant combien de temps, quel thermomètre…Mais des températures plutôt basses comparées à d’autres personnes avec au moins une durée de prise et un lieu de prise équivalent, on peut se poser la question (surtout si cycle long, règles abondantes et autres signes d’hypothyroïdie). 

                          Ensuite, un peu plus tard dans les vidéos : si l’ovocyte est fécondé 2 jours après l’ovulation… la durée de vie d’un ovocyte est de 24h et il n’est fécondable que les 18 premières heures, donc  2 jours après l’ovulation, c’est déjà trop tard, l’ovocyte est « mort ». 

                          Et enfin, les spermatozoïdes peuvent survivre jusqu’à 5 jours dans la glaire et non juste 72h même si pour de nombreux couples ça serait plutôt 3, 4 jours. 

                          Voilà pour les remarques (que je souhaite être constructives) que j’avais à faire sur la fertilité.

                          Merci pour ton retour

                          Sarah

                          #19699

                          Christophe BERNARD
                          Maître des clés
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                            Merci pour tes commentaires Sarah. J’ai quelques jours un peu chargés, mais je n’oublie pas, je te fais un retour dès que j’ai un moment pour me repencher sur tout ceci.

                            #19732

                            Christophe BERNARD
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                              Bonjour Sarah,

                              Toute clarification ou correction est constructive, ne t’inquiète pas. De plus, lorsqu’on a la chance d’avoir une spécialiste avec nous, je veux en profiter au maximum.

                              A la base, je suis un généraliste. J’ai toujours travaillé comme ça, j’accompagne toute problématique de santé, certaines que je ne connais pas. Du coup je défriche, parfois je me casse un peu les dents, mais ça me permet de progresser. J’explore un sujet jusqu’à un certain point pour faire mon travail, ensuite, il faut que je passe à un autre sujet.

                              Lorsqu’une ou un spécialiste vient m’apporter des informations, je veux toujours être en mesure de dire merci. Bien sûr, parfois, il y a le risque de le prendre personnellement, et que l’ego en prenne un coup. Et clairement, je ne te cacherai pas qu’au fil des années, il a fallu que j’apprenne à gérer ces situations. Je pense que c’est humain. On essaie de bien faire, on pense qu’on ne peut pas faire mieux, et puis quelqu’un arrive et a défriché le sujet largement plus que toi, et là, tu te dis « suis-je légitime dans ce sujet ? ». Je pense que nous avons tous connu cela, cela donne de l’humilité, nous remet à notre place, et c’est toujours bien. Se faire sortir de sa zone de confort est primordial. Sinon on se repose sur ses acquis.

                              Mais bon, là je philosophe 🙂  Mais juste pour te mettre à l’aise avec le fait que tu peux me faire ce genre de commentaires, et qu’à ce stade de ma pratique, j’ai bâti assez de confiance en mes compétences pour ne pas le prendre mal, accepter que je continuerai d’être un généraliste qui apprendra des spécialistes.

                              Allez, je ferme cette parenthèse et je reviens à tes commentaires !

                              Pour le premier point, j’ai réécouté la vidéo, relu la transcription, et en toute franchise, je ne sais plus ce que j’ai voulu dire exactement. Donc je vais tout simplement couper ce point de la vidéo et des transcriptions.

                              Pour les durées de « survie » des spermatozoïdes et oeuf, je vois qu’il n’y a pas concensus, et que mes ouvrages de physiologie généralistes n’ont peut-être pas l’information la plus précise. Pour les spermatozoïdes par exemple, j’avais pu tracer les fameux 5 jours a une étude relativement vieille, et mes discussions avec les spécialistes m’avaient pointé vers quelque chose de plus court en pratique.

                              Pour la thyroïde, la discussion est effectivement largement plus complexe que la température basale. Pour avoir travaillé avec de nombreux cas d’hypothyroïdie, je peux le confirmer. En revanche, la température basale peut tout de même donner un indice, même si, effectivement, se fixer sur un chiffre n’est jamais judicieux. Il en est de même pour la TSH et même les niveaux de T3 et T4 qui chez certaines femmes sont « normal » ou « normal bas » alors que la clinique pointe bien vers une symptomatique d’hypothyroïdie. Mais bon, je voulais glisser l’information au passage.

                              Dans l’ensemble, tes commentaires sont les bievenus, et je vais faire des mises à jour sur la plateforme, dans le module en question. Un grand merci pour ce partage.

                              #19779

                              Sarah M.
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                                Merci pour ton retour et d’avoir pris le temps de me lire !

                                #19938

                                Marie V.
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                                  Je me permets juste d’ajouter à cette discussion qu’il me semble qu’on trouve des thermomètres à deux décimales (le cyclotest lady en tout cas) dans la plupart des pharmacies en Suisse. En tout cas au Sun store, BENU et Amavita en ont (et on peut les commander sur leurs sites aussi si jamais).

                                  #19945

                                  Katia
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                                    Sarah (M), tu parles du cycle en cas d’hypo : « surtout si cycle long, règles abondantes et autres signes d’hypothyroïdie ». Si je comprends bien le cycle long et règles abondantes sont symptomatiques des hypo ?

                                    J’ai un cas d’hypo avec des règles « qui ne coulent pas » + SPM ++ douleurs (pas de problématiques gynécologiques constatées)

                                    Cela vous parle ?

                                    Grazie mille

                                    #19978

                                    Sarah M.
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                                      #19979

                                      Sarah M.
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                                        #19986

                                        Katia
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                                          Alors douleurs règles premier et deuxième jour ++

                                          Règles qui coulent au compte goutte… rien dans la serviette….pendant 5 jours… à l’opposé des règles hémorragiques.

                                          Merci !

                                          #19991

                                          Sarah M.
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                                          • Offline

                                            alors pour moi ça me fait plus penser à des saignements intermenstruels que de vraies règles, à moins qu’elle ait un déficits en oestrogènes parce qu’elle n’a pas assez de calorie/fait trop de sport etc et dans ce cas là, ça peut perturber la thyroïde aussi, c’est possible. Et du coup ça ferait de tout petits saignements…

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